La sincérité de la souffrance c'est la pudeur.
Ecrire qu'on souffre, le publier, imprimatiquement ou webmatiquement, c'est corrompre cette souffrance par les mots et la parole des mots, c'est salir le magistère de la souffrance, c'est rabaisser sa dignité mise à la portée des blogueurs.
Les mots seront toujours un écran aux maux. Et c'est tant mieux.
mercredi 23 novembre 2011
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2 commentaires:
salir le magistère de la souffrance...
Rien que pour cela j'aime tout le texte.
Vous m'en voyez ravi !
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