
Parce que vous avez du goût, parce que vous souhaitez avoir devant vos yeux admiratifs, tous les jours, de l'originalité, de l'émotion, de la beauté et même, oui oui, de la tendresse (pas forcément exempte de cruauté, mais nous sommes des Vivants, nous !), vous DEVEZ allez visiter la galerie virtuelle de Jérôme Vallet.

Comme Beuche, achetez donc un de ses tableaux !
Courbes, ci-dessus, trône dans son salon depuis un an et, tous les jours, la tendresse de ses tons et la tendreté de ses formes (on mordrait bien dedans...) font son régal et celui de ses proches.
Car rien n'est jamais vulgaire dans cette oeuvre, même lorsqu'il s'agit de montrer des chagattes. Prenez Météorologie par exemple : il ne s'agit ni d'anatomie ni de pornographie. Il s'agit d'invitation au voyage. Il peut être terrifiant, comme avec Les Dix petits doigts ou encore Le Distributeur, mais il ne perd jamais en élégance.
Alors laissez-vous embarquer dans cet imaginaire qui n'est rien moins que la réalité de la chair, merveilleusement débarassée de ses oripeaux qu'affectionnent tant nos contemporains, à savoir le fantasme de la transgression : chez Vallet, rien ne peut être crade puisque le sexe, la mort et le soleil se regardent en face.

3 commentaires:
Pascal… Je suis confus, vraiment ! Merci infiniment à vous.
(Et embrassez A (la plus vieille des deux) de ma part.)
On mordrait bien dedans ??? Comment ça on mordrait bien dedans ???
Dans la courbe de chair pardi !!!
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