Internet est un peu l'interne être, alors les larmes larvées de mon subconscient sinusoïdal vous disent...
Épitaphons les syphons adjacents à notre mémoire dont la trace vectorielle ne sait elle non plus que dire.
Et laissons-nous aller à l'euphorie grivoise le temps d'un aller aux métronomes marins de nos vagues turgescentes et invasives.
dimanche 8 août 2010
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4 commentaires:
Spice de Rabelais du ouèbe, va.
(Tu confondrais pas siphon et typhon, ô Beuche sinusoïdal ?) :0)))
Beuche du Rab' est visiblement trop avant-gardiste pour une certaine partie de son lectorat...
(Un syphon, très chère, est un siphon qui aspire les typhons. Mais bon.)
Aaaaaaaaaah d'accord.
J'aime bien les avant-garde, note, même si j'les suis pas toujours, effectivement : elles ont trop fortement tendance à mettre leurs pieds sur des mines, en général.
(Fais attention, donc. Une explosion de Beuche, ça doit tacher rudement, question bribes, traces et sécrétions.)
(Enfin bref.)
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